Les protestations et les émeutes font rage aux États-Unis, et l'économie commence tout juste à se remettre du premier coup de la pandémie de coronavirus. Dans l'appendice entre le président américain Donald Trump et la plateforme de microblogging Twitter, un scandale a éclaté qui pourrait toucher d'autres géants des réseaux sociaux. Les commerçants, les investisseurs et les analystes voient l'ouragan comme une opportunité, cependant, ne s'attendant pas à des changements de marché mondiaux et à long terme.
Les manifestations américaines ont touché le dollar. L'indice de la devise américaine est de nouveau tombé en dessous de 100. En règle générale, les marchés et les monnaies nationales des économies développées ne répondent pas aux protestations de la population, même s'ils bloquent partiellement le travail des entreprises urbaines. Un exemple en est les longues protestations des «gilets jaunes» en France, qui n'ont pas affecté l'euro et l'indice CAC 40.
Cependant, cette fois, les troubles ont coïncidé avec la coronacrisis et les mesures de la Réserve fédérale américaine, qui continue de générer des liquidités, ce qui rapproche la possibilité d'une nouvelle inflation.
Cette dynamique a un effet bénéfique sur le renforcement des principales devises mondiales. Ainsi, l'euro a augmenté contre le dollar pendant sept jours consécutifs et ne prévoit pas de ralentir, et le dollar australien a récemment mis à jour un plus haut de trois mois.
Trump contre Twitter
Twitter cache les messages du président américain Donald Trump sur les manifestants ou les a marqués comme faux. Le président répond par décret contre la censure en ligne. Les experts doutent que la décision de Trump soit mise en œuvre, cependant, l'initiative pourrait affecter les géants des réseaux sociaux. D'une part, la décision de Trump va stimuler l'activité sur la plateforme de microblogging, qui joue en faveur de ses indicateurs financiers. D'un autre côté, la perspective de poursuites et d'enquêtes sur la société a déjà affecté le cours des actions de Twitter. Au cours de la semaine dernière, ils ont chuté de 6%.
Maintenant, pour l'investissement, des titres alternatifs doivent être envisagés, et revenir aux actions Twiter lorsqu'ils atteignent le niveau de 46 $ par action, quand on peut parler d'une reprise confiante des cours.
Malgré les émeutes dans des dizaines de villes américaines, l'économie du pays continue de se précipiter. Les protestations n'ont presque pas affecté le coût des sociétés informatiques, et les experts ne voient pas de tendance à long terme dans un petit retrait.
Cependant, Facebook et Twitter ont été indirectement touchés par les troubles aux États-Unis. La situation est à l'opposé de l'histoire du microblog, et Trump est également impliqué ici. La décision du chef de l'entreprise, Mark Zuckerberg, de ne rien faire avec la présidence, qui a été bloquée et signalée par Twitter, a provoqué une vague d'indignation même au sein de l'entreprise - certains employés ont pris une journée de congé en désaccord avec la direction. En conséquence, la valeur des actions au 3 juin a diminué de 1%.
Si les actions perdent du prix au niveau de 225 $, il est logique de les acquérir en utilisant le moment, car à l'échelle mondiale, elles continueront de croître. En effet, désormais, lors de la distance sociale et de la communication en ligne, le segment numérique soutient le fonctionnement des économies paralysées par le coronavirus.
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